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Je ne veux pas simplement que tu t'étouffe sous la masse, il faut aussi que tu crève de tes mépris passé, qui serais comme stimulé dans un futur collectif.
Qu'une patrie fonde sa peur sur toi.
Je ne veux pas simplement que tu fasses souffrir d'autre personne, ce qui arrivera quand tu te sentiras seule/renouvelée/ennuyeuse. Il faudra aussi que ces gens n'oublient jamais à quel point tu as laissé périr leurs aïeux sur de longues routes toutes zébrées de phares.
J'aimerai vraiment que ta pensée ralentisse sous toutes les choses qu'on t'apprend, que tout pourrisse tout doucement sous ta peau vernie. Une poche de ton poison percée qui s'écoule le long de tes joues si charmantes.
Mais au final, je me réjouis totalement à l'idée que les pires atrocités que je n'ai pas citée soient, quant à elle, tout à fait réelles, concrètes, logiques, directes, stimulantes et attractives.