samedi 28 septembre 2013

A coté de ses grandes pompes

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A l'heure ou je tape ces quelques entrées je ne parviens pas à rassembler les morceaux de mon cerveau, qui traînaient dans la pièce, même pas cinq minute auparavant.

Je ne veux pas de cette journée, vous pouvez la reprendre. En faire un investissement quelconque. Vous la carrer dans le cul. Qu'importe, éclatez vous. Mais prenez là.

Avec elle je serais tourmenté de part en part, la fureur du monde et la friction de celui-ci, à une telle vitesse, risque de venir faire fondre mes orbites. Risque de nécrose. Risque d'avoir la frousse à avaler les draps de son lit pour être bien sur de bien être dedans, de part en part.


L'impression que maintenant, tout va faire peur. Qu'à présent, tout ne sera qu'agitement de synapse, quelques neurones frétillent pour le nouveau shampoing ultra doux, une armée de neurone pour la gosse dans la rue, et un pauvre connard pour toi.


L'impression que maintenant, tout va devenir excitant. Mourir dans l'oubli. Mener un combat. Remplir ses paperasses. Un combat contre un terrible ennui. Vermeil.

J'euphémise, j'aurais tellement adoré posséder de tels problèmes !