lundi 21 décembre 2009

Le froid fait penser au groupe "Radiohead"

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Il marchera tout seul dans la neige. Il fait très nuit, il courre pour ne pas être mordu aux jambes :

Ce ne sont pas les ennemis qui manquent : chien, froid, amertume... TOUT CE QUE TU VEUX


Il a le choix entre deux chemins, dans la neige tout brille très fort et la lune est différente : "la neige peut être un piège, surtout quand elle s'imprègne dans le sol et laisse des traces. Au début on se sent unique, on se sent spécial parcequ'on foule la neige le premier, mais après on marche sur les traces des autres et ça deviens compliqué."


Il a le choix entre deux chemins et il imagine qu'on lui indique spontanément et avec le sourire, l'un d'eux. Il entre, il y va et arrive ... près d'un terrain de pétanque. Personne n'y a joué, personne n'y a touché : le terrain de pétanque est devenu une piscine de farine. C'est un cadeaux.





Music : "I might be wrong", de Radiohead: attendre devant une plaine infinissable de neige. Arrivé à 3 minutes et 52 secondes dans la chanson, il faut marcher doucement dans la neige et attendre qu'elle arrive.


Il faut marcher dans le froid avec "Kid A", de Radiohead aussi, mais si vous le faites la nuit vous penserez forcément à la mort.

lundi 7 décembre 2009

THE SOFT SKELETON


mardi 1 décembre 2009

I'm TIRED

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L’errance, la vraie, on ne la choisit pas : elle vient nous pêcher d’elle-même. Pour cela il faut être quelqu’un de spécial : un enchevêtrement de découverte et d’oubli, de volonté et de résignation : on doit vouloir tout découvrir et on doit pouvoir tout oublier en même temps.

mercredi 25 novembre 2009

"La peur craint pour autrui"


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Le temps t'arrêteras, à temps. Pas le temps de trembler mon gars : fais ton sac, vite, dépêche toi : tout se passe dehors. Sors de là, tous est agréable, tout n'est que boîte agréable (oui c'est vrai, ça te rendors). Mais on sait tous que c'est que cathodique aux yeux. Alors sors toi le sac de la tête : rien n'est plus facile que de patauger dans la marmelade : Rien n'est plus facile que de regarder devant.

"Mais ça fais peur ?" Mais oui ! Mais enfin, oui ! Et c'est génial toute cette peur. On l'aborde pas correctement, crois-le. Je pourrais t'en vouloir, te demander "tu croyais quoi ?". C'est vrai ! On a quoi sans rien ? La peur c'est le Cerbère de l'existence, il est pas invincible bordel, il est pas si fort. Et on est pas des frolics.


"C'est celui qui accepte de frémir qui accepte de prendre des responsabilités"




(Heaven can wait - Beck and Gainsbourg)

mercredi 18 novembre 2009

Le premier ennemi de Jimmy (ou plutot la première) 3


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« Je ne peux pas brûler » dit le poisson, « mais je peux vous faire imaginer que je cuis dans la casserole, se sera très simple. Seulement, une fois le cuisinier partit, seulement, une fois que personne ne me verra, je pourrais exprimer ma tristesse : que dans un croustibat jaillisse ce qu’un Roméo maudit plus que tout, de l’avoir obtenu : ça aura été très simple »

Il n’y a pas de fin.

mardi 17 novembre 2009

Notre tragédie prend fin là ou la parole d’un personnage schizophrénique commence.

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Je serai dans ma chambre au lendemain d’un sommeil. Je m’assois, j’émerge. Le soleil parle à travers la fenêtre. En face de moi un homme en noir. Il est assis et en noir.

La suite et la parole ne servent plus. On pourrait tout conclure par : « et depuis, je parle beaucoup moins ».

Si vous voulez.


(Black rainbow : coco rosie)

lundi 2 novembre 2009

Le premier ennemi de Jimmy (ou plutot la première) 2








Ca doit être la troisième fois qu'il la voie. Le problème, c'est qu'elle est belle.

Enfin on enchante pas quelqu'un comme ça non plus, il faut quelque chose qui nous attire et qu'on comprendra jamais. Parce qu'attention ! Si on comprend, c'est fini ! C'est en gros ce qu'il a pensé (même s'il l'a sans doute oublié)

Il est pris. On est pris. C'est la merde. C'est vraiment ça : c'est la merde. Il suffit plus de se poser sur un petit mur en pierre et de voir venir. Quand c'est comme ça faut se magner d'organiser ses rêves. Faut se magner d'organiser TOUS ses rêves qui on un rapport avec ça.

Sinon ?

Qu'est ce qui peut être plus horrible que d'être aspiré, comme un poisson rouge crevé, dans le noir, étroit et si détesté ? Votre cœur il fait pareil si vous organisez pas tout ça. Il dégouline, tâche votre cage thoracique, coule le long des poumons : il marque d'une trace noire et rouge, déguelasse, une âme qui est toujours blanche.



Comment ? Mais personne ne le sait ! On ne se figure plus rien quand on est vraiment seul, et là, on est vraiment seul. On essaye de traverser cette frontière qu'elles ont mise au travers de nos yeux, on essaye, souvent, aussi, de retrouver toute ses affaires : quand elle était pas là. On peut rien, on étouffera comme ça jusqu'à... ce qu'on finisse par comprendre (et personne ne le souhaite)





Alors Jimmy refuse pour la troisième fois celle qu'il a pourtant quittée si vite. Si faussement, si lâchement. Est ce lui ? Est ce les autres ? Mais tout cela importe, elle est encore là MAINTENANT. Elle l'observe et le juge : il s'en fiche, après tout il est trop occupé à jouer. A danser avec ses yeux : il va de gauche à droite, ses yeux de pêches, d'harpons plus tranchants que ce qu'elle puisse dire en vrai ou en ciment. Il joue du sang qui afflue en elle, mais pas trop : il peut encore rire, et il s'en remercie. Mais surtout, il doit lutter très fort : en ce moment son cerveau refuse d'être encore là; à le soutenir et à faire son job. Il est pas en grève, pire, il est en plein clandestinage. (Même si on pourra jamais oublier)

Il pourra rien guider si il le perd, lui, et c'est sans doute ce qui l'empêchera toujours d'être aussi bien elle que lui. Tu comprends ? On aime pas, on aimera jamais. Jamais.





(Music : The trickster - Radiohead)

Quelle idées !

"Etre froid ou distant, ça veut pas forcément dire qu'on ressent rien.

Ne rien dire, ça veut pas forcément dire ne rien penser.

Ne pas réagir, ça veut pas forcément dire ne rien comprendre.

Et croire, ça veut longtemps dire que c'est la réalité"

jeudi 29 octobre 2009

"Un ciel organique ! Tu te rends compte !"

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Ce qui me rendrait triste, c'est qu'on vienne un jour me dire :

"Tes souffrances, tu t'en fous. Et si tu veux tout savoir, le temps à passé le balai : il t'a pardonné.
A présent, tu va bien, tout va bien. J'ai envie de te dire : 'bonne nouvelle, tout ça ne t'as servi à rien ! A rien du tout !' Tu peux à nouveau respirer"
Parce que cela n'a pas de sens, mais pour autant, cela existe.



Et j'invite quelqu'un à blâmer mon existence, à souligner mes fautes, à me croire coupable du mieux, à m'embellir du pire : c'est facile d'être moi. Et croyez-le, il n'y a rien de plus angoissant que d'être facile.

mercredi 28 octobre 2009

I am Lee geum-ja ! From Korea !




C'est comme une bulle d'oxygène sur le monde.

lundi 26 octobre 2009

Le premier ennemi de Jimmy (ou plutot la première)


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Près d'une salle de bain, comme toujours, Jimmy nage vers son lit.

Quand tout à coup, sans prévenir, mais sans avoir besoin de le faire non plus, ELLE EST LA.

La situation se tend, presque aussi fort que les chaînes qui, au fil des réponses et des accusations, se serrent sur Jimmy :

"-Tu manques cruellement à tes responsabilités
-Je le ferais plus tard
-Tu ne feras plus rien si je décide de te laisser là, enchaîné à jamais. Qu'est ce qui m'en empêche ?
-Tu m'aimes : c'est là ma plus grande provocation. Je ne suis pas comme tes autres proies.
-Raison de plus pour te méfier : tu es la possession que je rêve de ranger en moi, dans l'antre de ma cage thoracique. Parmi toute les autres, tu n'es pas spécial : Tu es simplement trop, trop pour que je te laisse vaquer au rien habituel qui font tes journées. Tu manques cruellement à tes responsabilités.
-Je ne suis pas capable de sauver ton monde." Jimmy s'allume une cigarette, le bruit de la cendre qui crépite lorcequ'elle caresse l'eau se fais entendre dans toute la pièce. Un bruit assourdissant.







Et il sait qu'il a eu chaud

jeudi 22 octobre 2009

QUAND JIMMY ETERNUE


Un oiseau tombe.

jeudi 15 octobre 2009

You'll end up alone

Je vois que les verrous cèdent, les uns après les autres:



-Celui là pour l'échec

-Celui là pour l'ouverture d'esprit

-Celui-ci pour tout ceux qui t'ont regardé dans les yeux

-Celui là pour la poussière que ton cerveau a goulûment avalé

-Celui là pour que l'amour et les mains, les nerfs, tout ce qui s'espère, tende vers elle sans jamais de résultats

-Celle là pour ton image de toi contre vous

-Celle là pour celle là



On cherche tout le temps à délivrer les monstres que notre enfance, sage et sévère, a consciencieusement enfermé, en priant que cela suffise à ce que notre idiot de nous, vieux, n'y parvienne. A ouvrir la cage, à devenir fou, à devenir mort, à devenir normal, à survivre, à croire ...

dimanche 11 octobre 2009

"c'est toi qui a décidé de devenir un monstre ?"











Continuons de marcher sur les villes, continuons de diluer le désespoir dans les autres, de cracher notre amertume dans la bouche de nos amis. Continuons, parce que c’est évident, continuons parce que c’est simple de combattre, quand on a jamais été rien d’autre que combattant. N’imaginons nos rêves.
Passons nos années à les compter. Minutieusement, on s’en rapproche toujours, malheureusement, on s’en rapproche toujours plus. Elle me hante tellement. Elle me hante tellement. C’est nul à chier.

samedi 3 octobre 2009

S'il te plait, mord moi.

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C'est une histoire ou tout le monde est occupé à mourir : le monde s'est écroulé,
non, pas les deux tours, le monde. Et tous les survivants vivent.

Évidemment personne ne s'attendait à ça : un survivant, en principe, ça survit. Mais non, seuls ou en groupes, les survivants redécouvrent l'existence, des ongles de la Liberté au lèvres de l'Indifférence, ils arpentent la Contrainte par son épaule et finissent dans l'immense bouche du Désir, toujours ouverte. Toujours ouverte, la grande bouche du désir. Toujours ouverte.





vendredi 25 septembre 2009

"Veut, mais ne peut pas"

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Horrible : s'éloigner de tout c'est se rapprocher de tout. Mec, ça c'est une contradiction que j'avais pas l'intention de lui présenter (à mon cerveau).

On doit simplement vivre comme ça ? On avance et elles tombent, comme des (cerveaux) tombales tombantes sur ce qu'on enracine ? Elles se cassent la gueule tes idées, tes certitudes, elles ont mis tant de temps à pousser que t'y croyais, même, eh ouais : t'y croyais à fond.

Elles les contradictions, paradoxes, emmerdes ! Je les laisses pas filer, non : c'est elles qui nous file. Elle nous a toujours accroché à cette toile, qui paraît si tendre et si molle.
On est tous suturés par tout les pores de l'émoi, on est tous en train de se regarder les uns les autres : et nous voyons la vie comme ça, à travers les morceaux de toiles qui dépassent de l'autre de part en part, de ceux qu'on est en train de regarder.

vendredi 11 septembre 2009

Etranger ici, étranger ailleurs.

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"Mais qu'est ce qui t'arrive", c'est plus qu'un jeu de jambe, la marche : c'est plus amer que du thé qui serait là depuis ta première dent de lait.

"Mais qu'est ce qui t'arrive", c'est ça, oui : c'est une évidence : Tu as donné une teinte parfaite, excellente à l'existence, mais personne te remercie parce que tu sais ! T'y es pour rien. Parce que sans vouloir nous vexer : tout le monde vit dans l'ombre.








P.S : Tu trouves pas que c'est plus beau un mec qui fais la gueulle ! Tu trouve pas ça beau ? Oh si, arrête. Oh si : un mec qui fais la gueulle ça peux te donner une opportunité qu'un mec qui fait pas la gueulle impose : s'illuminer.

jeudi 3 septembre 2009

Don't forget that :

Moi, je tombe pas. Jamais.

dimanche 30 août 2009

Let's go

J'ai bien envie de jouer à un jeu, malgré moi : alors on y va

Tu es celle qui appartient, celle qui vire, celle qui retient, tu es celle sur laquelle le monde repose, tranquille, ou peut-être pas vraiment tranquille : tu dis comme ça, tu explose : "le monde, il a la gueule de bois, il a bu trop de vos conneries" tu dis comme ça, et ça dérange personne, même pas un sourcil. Tu embellis tout ce qui es déjà trop, tout ce qui es déjà trop ... toi .


Et moi : je comparais.

samedi 29 août 2009

Le monde entier sur ma playlist

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La musique me fais avancer, reculer, elle rythme ma bouffe, ma douche, elle supporte mes plaintes, mes angoisses, mes soucis, mes rêves, mes fantasmes, mes idées, mes regrets.

Mes grandes trouvailles se font avec elle aux chiottes, je prépare les meilleurs plats sous la salsa et je peux pleurer si tu me met du Blues. Elle est mon délire, je la crie la nuit, je chantonne chaque chanson de l'univers, j'ai du créer des centaines de séismes à force de taper du pied, des mains, de la tête, de la cervelle, je peux quitter qui je veux avec elle, je suis le maître du monde quand une batterie s'énerve, je peux tuer n'importe qui avec Bach, j'écoute et j'absorbe toujours plus, des heures, des nuits, des mois, des millénaires d'écoutes, des stratosphères de décibels, musique, musica, tape dans tes mains que je l'enregistre, tout et rien passe dans mes oreilles, le monde entier sur ma playlist, plus toutes les humeurs qu'un Homme supporte, plus tout ce qu'on souffre, plus tout ce qu'on saigne, des milliards de plaintes étouffées par elle, elle remplace le café, l'alcool, la clope, la drogue, l'adrénaline, le désir, la testostérone, la personnalité, l'ambition, le claquement de dent, le talent, elle transforme, elle transcende, elle te met un coup de batte dans la gueule, et te frappe dans la nuque avec le pommeau, elle te traîne sur le bitume, elle te fais racler le comptoir crasseux d'un bar et t'explose finalement contre un mur d'amplis, elle coule dans tes veines, elle tire sur tes nerfs, elle agite tes neurones jusqu'à ce qu'on en puisse plus, jusqu'à ce qu'on puisse plus rien, du vide, du vide : musica.

jeudi 27 août 2009

Hey les mecs c'est pas Paris, c'est Londres !

Tu dors pas, tu dors pas, tu dors pas, tu dors pas, tu cherche à fuir, tu cherches à rester près de ton cerveau, tu cherches à crever ton âme, mais tu trouves pas de scalpel métaphysique, c'est con.

Tu t'assume pas, tu te gère plus, tu te présente plus non plus (et c'est pas très sympa)

Tu viole, enfante, et te nourris de ce qui t'a violé, enfanté et dont tous le monde se nourris, tu ris parcequ'au fond, tu pleures trop facilement, tu bouscules parcequ'au fond, on t'aura jamais assez frappé dans la gueule

On t'aura jamais assez frappé dans la gueule, taré, maniaque, pauvre connard, vieux truc, vieille vérole, air de rien, épine dans l'oeil, va te faire foutre : va te faire foutre.

dimanche 26 juillet 2009

EL NO PUEBLO

El no pueblo :
-La tête qui se fais manger par au moins milles nuages
-Une armée de connards
-Celui qui dit qui l'est
-Madame propre qui tire pas la chasse
-Une souris qui sourit






vendredi 24 juillet 2009

J'ai retrouvé ce texte dans mon armoire

"Est ce qu'un jour
Ou les lilas faneront mollement dans cet Occident piteux
Je pourrais revoir ton visage lourd
tes yeux creusés, ton cerveau moelleux
Et tout ce qui se dort dans ce monde

Et l'image d'une fanfare silencieuse
S'assoupissant dans une immense ronde
que les affres du cauchemar rendent pieuse

Je veux te revoir, ici, maintenant, quand tu veux
Je veux t'embrasser et m'endormir au creux
De ce que le ciel à de plus beau à t'offrir."

mercredi 22 juillet 2009

mmmmm ?


T'as déjà rêvé mieux toi ?

dimanche 5 juillet 2009

Avec maman on a mangé papa

"-La nuit dernière a dû être trop longue pour toi. C'est ce qui s'appelle "sortir la tête du fourneau", je sais pas si tu connais ?
-L'expression ?
-Nan, ici. C'est assez compliqué. Mais on s'y fait. Je crois que c'est l'endroit le plus expressif, celui qui veux tout dire : tes pleurs n'intéresse personne
-Mes pleurs n'intéressent personne
-Et tu n'as pas besoin de poches ici. Rien à ranger, rien à errer.
-Le deuxième m'étonne plus : on a l'air de se faire chier ici
-On a l'air oui, par cette trappe, mais n'essaye pas de l'ouvrir : Nan honnêtement je vais te donner le meilleur conseil que tu veuille entendre : bouge toi le cul, car ici le monde fixe les règles, et c'est nous qui les respectons"

dimanche 28 juin 2009

Tarif unitaire

On a peut-être qu'une seule chance de voir l'univers. Mais on a peut-être jamais la chance d'emmerder la chance comme il le faut : la remettre dans son trou -dont elle n'aurai jamais du sortir- et boucher l'entrée.

Aujourd'hui cet homme est sorti de sa tête, et il a compris un truc : c'est dur. C'est dur tout ça, non pas qu'on ne sache s'y prendre, mais enfin si : on n'imagine pas toutes les nuances que la réalité impose, et que le rêve à oublié depuis si longtemps. Comme deux frères, dont l'un te frappe au visage, mais sait te faire exister, et dont l'autre te rassure, dans une ouate vaporeuse et incertaine. Alors gageons que ce soit toujours dur, et magnifique aussi.

N'oublions pas : c'est le trottoir, et non le palier de la porte, qui nous donne envie d'aimer cet être si rigolo qu'est l'Homme.

jeudi 25 juin 2009

Sac à d'os Dora

La plume, c'est pas plus de la connerie que l'univers, que l'homme qui fume trop, et tout ça.

On pense, je pense, mais au fond j'imagine qu'il n'y a qu'un seul grand marché couvert des idées, et moi je propose d'aller sous la pluie. On la connait mal la pluie, je crois avoir compris qu'on la respectais pas, pas assez en tout cas.


A force de vouloir être sérieux, on en a oublié les vertus de l'humour, c'est l'histoire qui le dit, pas moi.


PS: Debby vous adore

PS: Demain promis, j'arrête la premiere personne et je la met définitvement en taule